[nettime-fr] Entaillez le Google self.referentialism - Google se mangera

[Hans Bernhard <play@ubermorgen.com>]

Entaillez le Google self.referentialism - Google se mangera*



Bari/Vienna, 18 Décembre 2005**


Comment un dictateur peut-il être drôle pour le peuple? Une chance  
doit savoir amuser le peuple, tout en continuant à influencer chaque  
décision qu'ils prennent, tellement invisiblement maintenant la  
puissance totalitarian intacte.

La gestion de Google sait très bien amuser des surfers. Ils ne sont  
pas gouvernement (totalitarian) de a, mais ils sont les premiers, et  
presque seulement référence pour la plupart des utilisateurs  
d'Internet. D'ailleurs ils périodiquement annoncent et libèrent de  
nouveaux, efficaces (et amusant) services. Les gens aiment ces  
services. Peuplez les veulent et veulent encore plus d'eux.

Ce n'est pas a Microsoft-comme le type de monopole du tout. Sur la  
planète de Google tout fonctionne et est facile et drôle. Tout est  
léger (comme interface) et savoureux (comme la recherche d'images),  
riche en ressources (comme Gmail) ou jeûne et mis à jour (comme  
nouvelles de Google). Ainsi la "crème" de l'amusement et des  
"fraises" des résultats intéressants assaisonnent la dictature de  
Google. En fait nous sommes parler d'un monopole, ou ainsi, dans un  
certain nombre de secteurs nets stratégiques d'économie.

La base de données de Google est un groupe de données incroyablement  
valable. Elle est constituée par les pages les plus visitées du  
filet. Mais elles sont choisies par l'algorithme de grade de la page  
du Google. C'est le paradigme de leur jeu autoréférentiel: le moment  
ils ont eu assez de crédibilité qu'ils ont établi les critères de  
filtre d'enchaînement, et puis, étant la première source, ils ont  
décidé ce que serait la teneur de cette source.

D'autre part la base de données des recherches et des demandes  
d'autres services (nouvelles, images, prix bon marché, courrier  
personnel) est même beaucoup plus appropriée. En fait, elle peut être  
localisée et statistiquement analysée, et le croisement des  
recherches locative, de général et de produit, constitue le rêve  
secret de chaque cadre du marketing d'Internet. Il s'occupe à une  
perspective effrayante d''profiler 'les utilisateurs du Google.

La perception commune est que Google offre des chances d'augmenter la  
puissance personnelle de l'information dans l'échange de la petite et  
digestible quantité de publicité.

Mais toutes les données enregistrées (les questions et leurs  
utilisateurs respectifs) sont simplement ignorées par les  
utilisateurs, qui sont hypnotisés par une machine virtuelle presque  
parfaite.

Cet empire drôle a un autre élément crucial: la publicité. Les  
lunettes sont le plus grand joueur dans les affaires nettes de  
publicité (réellement l'adv est ses affaires de noyau). Étant le  
moteur de recherche le plus visité, elles attirent des milliards  
d'utilisateurs. Leurs milliards de globes oculaires voient les pages  
de Google avec les advertisments textuels mentionnés ci-dessus, ce  
tout le monde peuvent assez acheter (AdWords).

Sur l'autre extrémité, les tonnes de personnes ont les "éditeurs"  
devenus par le phénomène géant de blog. Ainsi elles sont autorisées à  
partager le peu des bénéfices par le programme d'Adsense. Elles  
acceptent de montrer cet advertisment minuscule des textes dans  
l'échange d'un peu d'argent pour le chaque les cliquettent dessus. Ce  
processus est protégé et surveillé pour empêcher l'abus.

Le scénario (réel) final est Google en tant qu'intermédiaire géant.  
Il suce l'argent des annonceurs offrant une partie visée du webspace  
global. Et il donne les changements disponibles aux éditeurs pour  
leur collaboration. Il suce des infos des websites (et des nouvelles,  
des images, des prix) et elles les libèrent aux questions  
d'utilisateur. Être au milieu lui est de plus en plus le centre  
d'équilibrage inévitable du système. Mais nous ne sommes pas parler  
les systèmes normaux. Nous parlons des affaires et de la prédominance.

La position de Google est prédominante dans le même moment il des  
enteres un nouveau champ d'affaires avec un nouveau service. C'est  
l'effet de Google: créant le consensus sur des affaires nouvelles,  
même si elles obtiennent immédiatement la position prédominante.

Le plus grand ennemi d'un tel géant n'est pas un autre géant: c'est  
le parasite. Si assez de parasitites sucent un peu d'argent dans  
cette incorporation d'individu-referentialism, ils videront cette  
montagne artificielle des données et de son risque intérieur de  
totalitarianism numérique.

http://www.gwei.org


*traduction par translate.google.com






--- English reference version ---

Hack the Google self.referentialism - Google Will Eat Itself*



Bari/Vienna, 18 December 2005

How can a dictator be funny for the people? One chance is to know how  
to entertain the people, while continuing to influence every decision  
they make, so invisibly maintaining the totalitarian power untouched.

Google's management knows very well how to entertain surfers. They  
are not a (totalitarian) government, but they are the first, and  
almost only reference for most of the internet users. Moreover they  
periodically announce and release new, effective (and entertaining)  
services. People like these services. People want them and want even  
more of them.

It's not a Microsoft-like type of monopoly at all. On the Google  
planet everything works and is easy and funny. Everything is light  
(as the interface) and tasty (as the images search), resource-rich  
(as Gmail) or fast and updated (as Google News). So the "cream" of  
fun and the "strawberries" of interesting results are flavouring the  
Google dictatorship. In fact we're talking of a monopoly, or so, in a  
certain number of strategical net economy sectors.

The Google database is an incredibly valuable bunch of data. It's  
constituted by the most visited pages of the net. But they are  
selected through the Google's page rank algorithm. It's the paradigm  
of their self-referential game: the moment they had enough  
credibility they established the web filter criteria, and then, being  
the first source, they decided what the content of this source would be.

On the other hand the database of searches and the requests of other  
services (news, images, cheap prices, personal mail) is even much  
more relevant. In fact, it can be localized and statistically  
analyzed, and crossing locative, general and product searches,  
constitutes the secret dream of every Internet marketing executive.  
It deals to a frightening perspective of 'profiling' the Google's users.

The common perception is that Google offers chances of augmenting the  
personal information power in exchange of small and digestible amount  
of advertisement.

But all the recorded data (the queries and their respective users)  
are simply ignored by the users, which are hypnotized by an almost  
perfect virtual machine.

This funny empire has another crucial element: the advertisement.  
Goggle is the biggest player in the net advertisement business  
(actually adv is its core business). Being the most visited search  
engine, it attracts billions of users. Their billions of eyeballs are  
seeing Google's pages with the above mentioned textual advertisments,  
that everybody can fairly buy (AdWords).

On the other end, tons of people have become "publishers" through the  
giant blog phenomenon. So they are entitled to share the bits of  
profits through the Adsense program. They accept to display this tiny  
text advertisment in exchange of a small amount of money for every  
click on them. This process is protected and monitored for preventing  
abuse.

The final (actual) scenario is Google as the giant middleman. It  
sucks money from the advertisers offering a targeted portion of the  
global webspace. And it gives spare changes to the publishers for  
their collaboration. It sucks infos from the websites (and news,  
images, prices) and it releases it to the user's queries. Being in  
the middle it is more and more the unavoidable balancing center of  
the system. But we're not talking about a natural systems. We're  
talking about business and predominance.

Google's position is predominant in the same moment it enteres a new  
business field with a new service. It's the Google effect: creating  
consensus on a new business, even if it instantly gets the  
predominant position.

The greatest enemy of such a giant is not another giant: it's the  
parasite. If enough parasitites suck small amounts of money in this  
self-referentialism embodiment, they will empty this artificial  
mountain of data and its inner risk of digital totalitarianism.



http://www.gwei.org


























































































** Text by Alessandro Ludovico feat. UBERMORGEN.COM vs. Paolo Cirio


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Hans Bernhard
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